logo occupons le terrain
Newsletter du réseau Occupons le Terrain
N° 11 - 18 novembre 2022

OLT chez vous GRATUITEMENT tous les mois !

C’est l’automne, la pluie et le froid sont de retour (un peu)… mais Occupons le Terrain est loin de se préparer à l’hibernation. Bien au contraire !

Tout d’abord, cette newsletter que vous découvrez paraît désormais à un rythme mensuel pour mieux soutenir dans leur action tous les collectifs liés à OLT et pour mieux informer toutes les personnes qui partagent notre volonté de résister à la bétonisation et à la privatisation de nos ressources communes et notre envie d’alternative.

Ensuite, des Groupes de Travail (GT) commencent à s’organiser et à travailler activement. Le GT « Liens » vise à faciliter l’accueil des nouveaux collectifs et à encourager un plus grand partage d’informations et d’expériences entre les collectifs locaux et toutes les personnes qui soutiennent OLT. Le GT « Communication » s’occupe d’augmenter la visibilité d’OLT partout où c’est possible. Et le GT « Outils » établit un relevé des besoins, alimente une boîte à outils (kit de lancement, guides, fiches pratiques, etc.), et organise d'éventuelles formations à la demande. D’autres GT pourraient se mettre en place bientôt.
pictos-OLT_01
Parallèlement, nous travaillons à faire naître de nouvelles coordinations locales entre les collectifs, en nous inspirant de la coordination liégeoise qui s’est mise en place dès les premiers pas d’OLT en 2018. Alors bientôt des coordinations dans le Luxembourg, le Namurois, le Hainaut, le Brabant,… ? On vous tient au courant dès que les choses bougent.

Et, puisqu’on parle de Liège, la pétition d’OLT/Liège a déjà passé le cap des 2000 signatures, grâce à une présence hyperactive dans des rassemblements de grande ampleur (Esperanzah, Retrouvailles, la manifestation contre l’extension de Liège Airport) ou de plus petite taille (brocante, soupers,…) mais aussi grâce à la mise en ligne de cette pétition sur notre site. Alors, signez et faites signer !

Bonne lecture, bonne solidarité et à dans quatre semaines pour le prochain numéro de cette newsletter !
pictos-OLT_15

<<< NOS VICTOIRES >>>

Les Grenouilles du Bois l’Evêque coassent de plaisir !

Grenouilles du bois l'Evêque
Le quartier de Cointe à Liège déchaîne les appétits des promoteurs. Bonne nouvelle : l’un d’eux vient de mordre la poussière.
La zone dite du Bois l'Evêque a déjà fait l’objet de plusieurs projets successifs qui ont chaque fois été contestés fortement par les riverains et refusés par la Ville de Liège. le dernier promoteur en date s’est entêté et a décidé d’aller en recours de cette décision de refus de la Ville auprès du Ministre de la Région wallonne, Willy Borsus.
Mal lui en a pris. Après l’avis négatif du Département de la Nature et des Forêts (DNF) et le refus de la Ville de Liège, il peut maintenant ajouter à la liste un avis négatif de l’administration de la Région wallonne suivi par un refus du ministre Borsus qui bétonne (si on peut dire !) le refus de la demande de permis par la Ville de Liège. Un fameux palmarès !
Mais si les riverains (réunis dans le collectif Les Grenouilles du Bois l’Evêque), les vraies grenouilles et les lucanes du bois l’Evêque soufflent de satisfaction, d’autres projets sont toujours en suspens dans le quartier.
Affaire à suivre donc..

Une première victoire pour Esprit Boncelles !

image_2022-11-16_112536887
Lundi 14 novembre, le Conseil Communal de la ville de Seraing s'est exprimé concernant l'ouverture de voiries pour deux projets urbanistiques différents à Boncelles).
Ces deux projets, qui menacent l'existence des derniers prés du village, ont rencontré une inédite opposition citoyenne, laquelle s'est traduite en plusieurs centaines de lettres suite à l'enquête publique.
En vue de faire opposition à ces projets, près de 100 citoyens se sont donc rendus au Conseil communal de ce 14 novembre. À la surprise générale, le Conseil a décidé de refuser l'ouverture de la voirie concernant l'un des deux projets, celui se situant dans le plein centre du village. Par contre, il a accordé un permis partiel pour la voirie du deuxième projet, celui-là étant prévu à proximité de la zone commerciale de Boncelles.
Dans ce dernier cas, l'accord partiel risque de rendre moins rentable le projet de construction puisqu'il le limite fortement. De plus, cette décision nous protège pour le moment d'un recours à la Région de la part du constructeur.
Les votes actés lors de ce Conseil communal sont une victoire partielle pour Esprit Boncelles mais leur combat n'est pas terminé pour autant. De fait, les constructions encore prévues consistent en 21 maisons, dont plusieurs 4 façades, dans une zone de Boncelles qui connaît des engorgements quotidiens. Il y a donc de quoi s'opposer encore à tout cela !
Esprit Boncelles 2

<<< EN ACTION >>>

Parc Léopold à Namur : l'ASBL Ramur introduit

un recours au Conseil d'Etat

Parc Léopold 3
La campagne pour sauver le parc Léopold à Namur, c'est une histoire qui a débuté en 2012 suite à l'annonce d'un projet de centre commercial qui éradiquerait tous les arbres de ce parc en centre-ville. Ce projet est une hérésie environnementale, énergétique, économique totale. Le réchauffement climatique, la perte de biodiversité alarmante, les îlots de chaleur, les pollutions urbaines, le stop béton ; rien de tout cela n'a infléchi le projet soutenu par la majorité politique namuroise (les Engagés, le MR et Ecolo).
L’histoire de cette lutte, c’est 12.000 signatures récoltées, une consultation populaire avec plus de 20.000 participants, des dizaines d'actions menées, deux promoteurs en faillite, et aujourd'hui un 3ème promoteur (la société Besix) qui prétend, lui aussi, faire disparaître cet espace vert. Cette société persiste à vouloir imposer un projet immobilier titanesque sur le site du parc Léopold tout en rejetant les alternatives proposées lors de la consultation citoyenne qui permettraient de satisfaire toutes les parties et de préserver une belle partie de cet espace vert : http://ramur.be/2021/03/09/quartier-leopold-ramur-ameliore-le-projet-de-besix/
Ce projet de logements, bureaux et centre commercial implique une modification du Plan de Secteur. C'est le rôle du PRU (Périmètre de Remembrement urbain) dont l'approbation définitive vient d'être signée par le Ministre Borsus malgré la levée de boucliers générale.
Cette procédure vient juste avant le dépôt de la demande de permis intégré qui permettra, si ce permis est accordé, de raser le parc et lancer la construction.
L'ASBL Ramur a donc introduit ce vendredi 21 octobre un recours au Conseil d'Etat contre le projet de PRU du parc Léopold et lance un appel aux dons pour financer cette action en justice.
Canopea (ex Inter-Environnement Wallonie) soutient l'initiative et propose un crowdfunding au départ de son site web : https://canopea.koalect.com/fr-FR/project/recours-au-conseil-d-etat-pour-annuler-le-pru-parc-leopold-a-namur?tab=overview
Pour garantir son indépendance d'action et d'expression, Ramur ne reçoit aucune subvention et ne bénéficie donc pas de l'exonération fiscale des dons.
La confidentialité des versements est strictement garantie et tous dons, même minimes, peuvent contribuer à lutter contre ce projet destructeur.

Si vous souhaitez aider le collectif de toute autre façon, merci de contacter Marcel Guillaume à l’adresse contact@ramur.be ou au 0476.779815.
Parc Léopold 2

Les défenseurs de terres agricoles menacés par une extension de zoning à Hondelange

interviennent au Parlement Wallon

Hondelange
Les agriculteurs et leurs soutiens ont gagné leur pari : ils ont réuni près de 3.500 signatures sur leur pétition en défense des terres agricoles menacées par une extension de zoning à Messancy (dans le sud de la province du Luxembourg). Ils ont ainsi pu défendre leur position devant le Parlement wallon.
Cliquez ICI pour visualiser la présentation (à partir de 2h09) suivie d'un échange de questions/réponses.
Le long combat du Collectif pour la Préservation du Village de Hondelange (CPVH) est expliqué ICI.
Et la réponse piquante du collectif aux affirmations étonnantes du député MR Philippe Dodrimont lors du débat qui a suivi l’intervention citoyenne est ICI.

<<< NOUVELLES DES COLLECTIFS >>>

Stop Alibaba & Co répond au chantage à l’emploi effectué par l’aéroport de Liège

Stop Alibaba
Un nouveau permis d’exploitation a été octroyé à l’aéroport de Liège, qui prévoit une augmentation limitée du nombre de vols. De nombreux recours sont actuellement en cours contre ce permis. Ces recours se divisent en deux camps :
  • Les partisans d’une révision à la baisse du nombre de vols autorisés : le collectif Stop Ali Baba & Co, des riverains de l’aéroport et plusieurs communes ;
  • Les partisans d’une révision à la hausse : la société qui exploite l’aéroport et d’autres entreprises aux intérêts économiques étroitement liés.
Pour permettre une augmentation du nombre de vols, les dirigeants de l’aéroport mobilisent le registre éculé mais efficace du chantage à l’emploi : “5000 emplois seraient supprimés avec le nouveau permis, il doit être revu !” nous alarmaient-ils ainsi, le 13 octobre dernier, dans une mise en scène volontairement catastrophiste. Le collectif Stop Ali Baba & Co démonte cet argument dans un communiqué de presse en réponse à ce chantage à l’emploi grotesque, hypocrite et irresponsable.

Les chauves-souris au secours du Val Saint-Lambert

Val Saint Lambert
Le site du Val Saint-Lambert à Seraing est un milieu naturel riche d’une biodiversité impressionnante mais il est menacé depuis des années par le “Cristal Park”, un projet colossal de construction de centaines de bureaux, de logements, de commerces, d’hôtels, de parkings,...
Une opposition de plus en plus large se développe contre ce projet qui bat de plus en plus de l’aile. Ces dernières semaines, la Justice a été saisie de plaintes multiples suite aux révélations sur les fausses factures et détournements d’argent commis par le principal promoteur privé de ce projet et sur l’apathie (passablement complice) de la Ville de Seraing dans ce dossier.
Le collectif « Le Bois du Val » se bat pour sauver l’intégralité de ce site remarquable. Sa dernière initiative ne manque pas d’originalité : il a fait réaliser une étude par “analyse de signatures sonores” pour en savoir plus concernant les chauve-souris (chiroptères) présentes sur le site. L’étude a été menée à bien en août par Nils Bouillard, spécialiste international reconnu, et les résultats sont à présent disponibles. On y retrouve pas moins de 10 espèces sur les 24 présentes en Belgique, dont certaines rares et menacées.
Le rapport complet est disponible en téléchargement sur le site du collectif. Vous pouvez le trouver en lisant cet article ou en cliquant sur le bouton ci-dessous.
Le collectif espère que ceci contribuera à établir un peu plus le caractère précieux du Bois de l’Abbaye à Seraing et à le préserver contre les projets immobiliers qui le menacent !

Prés de Tilff : les bains boiront-ils la tasse ?

Prés de Tilff
Des installations sportives et une piscine en plein air abandonnées depuis plus de dix ans. Des projets successifs de relance de l’activité qui avortent l’un après l’autre. Et puis l’idée géniale d’un nouveau promoteur : installer une foire permanente avec plusieurs piscines, de nombreuses attractions et de la musique en permanence !
Petit détail : ce bel endroit, les Prés de Tiff, se situe à Esneux au bord de l’Ourthe. On imagine sans peine le plaisir qu’auront les riverains des deux versants de la rivière à écouter de la musique « en permanence ». Mais surtout, l’Ourthe est une rivière qui sort fréquemment de son lit et envahit les rivages. S’ils sont en état naturel, une partie de l’eau peut s’infiltrer. S’ils sont complètement artificialisés, l’eau noie la zone et s’étend plus loin, notamment vers les villages proches.
La présentation du projet du promoteur se veut tout en séduction et passe sous silence tous les dangers. En réaction, cinq comités et collectifs défendant les intérêts de la population se sont regroupés pour protester et pour imaginer un autre avenir pour le site, plus respectueux de la nature et des riverains.
Vous trouverez plus de détails dans l'article sur notre site ainsi que sur la page Facebook des défenseurs du site.

Un air de Chartreuse : La ZAD est partie…

mais la « zone » est toujours « à défendre » !

Chartreuse ZAD2
Comme annoncé le mois dernier, une belle victoire a été remportée à Liège par les défenseurs de la Chartreuse, regroupés autour du collectif d’habitants Un Air de Chartreuse et des occupants du site menacé qui s’étaient organisés en Zone à Défendre (ZAD).

Conformément à l’accord qui organisait l’abandon définitif par Matexi de ses projets immobiliers sur le site de la Chartreuse, toutes les installations construites par les zadistes ont été démontées par ces derniers, le matériel utile déménagé pour conservation en vue d’actions futures et le reste évacué par containers. Aujourd’hui le site a retrouvé l’aspect et le calme qu’il avait il y a huit mois – et un gai parfum d’optimisme en prime.

Evidemment, le journal local La Meuse a tenté de déconsidérer les zadistes en prétendant qu’ils n’avaient pas tenu leur engagement dans les délais prévus, ce qui lui a valu une fière réponse des zadistes.

Si nous avons remporté une belle victoire (après 5 ans de lutte !), l’avenir du site n’est pas encore dégagé. Un groupe immobilier flamand a un projet qui, sous couvert de réhabiliter le Fort et ses dépendances, vise à créer un ensemble de logements, une maison de retraites, des magasins, … sur le site, ce qui détruirait une bonne partie de la forêt urbaine qui s’y est développée. Inutile de dire que ce projet sera combattu avec autant de détermination que celui de Matexi. Puis restera à organiser un avenir plus souriant et plus durable pour l’ensemble du site.

La ZAD est partie mais, aujourd’hui comme hier, la Chartreuse reste une « zone à défendre » et à restaurer.

<<< APPELS A SIGNER >>>

Ingremez

Non à la privatisation des chemins de Ingremez

Depuis des années, le propriétaire d’un domaine situé à ingremez (Philippeville) tente de privatiser des sentiers communaux. Alors qu’il ne réside pas sur les lieux, il demande pourtant plus de quiétude, alors que cet endroit est très calme et paisible. Cet endroit public est parcouru depuis la nuit des temps, par toutes les générations successives d'habitants : promeneurs, forestiers, botanistes, sportifs, agriculteurs,... Sauf que le comportement de certains propriétaires bordant ce carrefour, depuis quelques années, n'était pas exempt de violence : intimidation, multiplication de panneaux « propriété privée », caméras, clôtures, construction sans permis,...
La première tentative du propriétaire n’a pas tenu le coup face au refus massif exprimé par plus de 500 citoyens lors d’une enquête publique en 2020. Aujourd'hui, il réintroduit une demande pour un nouveau projet, à peine modifié par rapport à celui de 2020. Et une nouvelle enquête publique est en cours.
Le collectif demande votre soutien en signant sa pétition !
Pour en savoir plus sur la lutte en cours, c'est par ici.
Petition-Btn

Du logement pour toutes et tous, tout en sauvant les espaces verts et les terres agricoles !

« La région liégeoise étouffe sous le béton. En ville comme dans la périphérie, les nouvelles constructions pullulent, grignotant sans cesse les espaces verts et les terres agricoles et menaçant de nombreux poumons verts. En même temps, les logements inoccupés se comptent par milliers dans les centres et les friches industrielles tapissent nos vallées. »

C’est ainsi que commence la pétition lancée par la régionale liégeoise d’Occupons le Terrain qui réunit une petite vingtaine de collectifs. Et c’est cette situation qu’elle veut changer en réclamant – notamment – des 24 communes de l’arrondissement de Liège qu’elles s’engagent à refuser systématiquement toute demande de permis concernant des espaces verts et des terres agricoles qui 
"contribuent à la préservation de l’environnement, la santé et la qualité de vie de la population et à imposer la priorité à la rénovation du bâti existant, à l’occupation des logements inoccupés et à la réaffectation des friches industrielles et commerciales, dans la perspective de développer le logement en ayant une attention particulière pour les personnes à faibles revenus."
.

OLT/Liège a comme objectif de réunir 10.000 signatures sur cette pétition, afin d'interpeller sur cette base ces communes, et d'intervenir dans les débats en vue des élections régionales, provinciales et communales de 2024.

Vous pouvez signer et faire signer cette pétition (même si vous n’êtes pas Liégeois·e·s !) en cliquant ci-dessous.

A vos agendas !

image_2022-11-16_131409752

Souper de soutien

au collectif Oblats

samedi 19 novembre à 18 h 30

Le collectif Oblats finance un procès afin de permettre de défendre les communs dans le bois des Oblats (bas du parc de la Chartreuse à Liège), et plus particulièrement l’accessibilité d’une série de sentiers et chemins aujourd’hui empêchée par la privatisation d’une parcelle et la pose d’une clôture par un particulier.
Afin de financer cette action en justice, Peuple et Culture et le Collectif de défense du bois des Oblats ont le plaisir de vous convier à un repas spaghetti de soutien dans les locaux du Centre Liégeois du Beau-Mur. De plus, la maison du conte de Liège et ses amis viendront conter l’une ou l’autre histoire pour animer la soirée! Le prix est de 15 € pour les adultes et 10 € pour les enfants jusqu’à 12 ans. Il est possible d’opter pour une sauce bolognaise avec de la viande ou végétarienne. Réservation obligatoire à l’adresse: collectifoblats@gmail.com
Repas annuel

Repas annuel

d'Esprit Boncelles

Il aura lieu le dimanche 12 février 2023. Le but est de cultiver l'esprit de village, de renforcer la cohésion de ses habitants, et de fédérer les personnes qui connaissent déjà bien la position du collectif sur les dégâts occasionnés par les marées grises (entendez par là “les réalisations inadéquates de promoteurs immobiliers irresponsables”). Ce sera aussi l’occasion de faire mieux connaître le collectif et d’expliquer les tenants et aboutissants du projet en cours.
Nous ne manquerons pas de rappeler cet événement dans nos prochaines newsletters !
image_2022-11-16_131900731

Canopea discute de la diversité et invite à la découverte du Ry-Ponet

jeudi 15 décembre

à 18h à Namur

Canopea (ex-IEW - Inter-Environnement Wallonie) organise une série de soirées de partage d’expériences et de questionnements autour de l’organisation d’actions pour la protection de la biodiversité dans nos régions.

Pour la première soirée, les échanges se construiront autour d’un récit guide : celui de la Plateforme du Ry-Ponet à Liège. Il sera présenté par Jean Peltier, acteur et narrateur inspirant du projet et également membre fondateur du réseau Occupons le Terrain. Depuis 2015, la Plateforme du Ry-Ponet se mobilise pour la préservation d’un ensemble paysager appartenant en grande partie à une ancienne société minière en y construisant un projet alternatif : celui d’un parc bocager de 400 hectares aux portes de la métropole.

Nous aborderons la question de l’opposition à des projets « contre-nature » grâce à la force des chemins de traverse, des plans B, des imaginaires qui permettent de rassembler les acteurs et décideurs afin de faire bouger les lignes autrement.

Vin chaud et autres boissons chaudes au rendez-vous !

En pratique :
Quand : le 15 décembre 2022 de 18h à20h
Ou : chez Canopea, Boulevard Ernest Mélot, 5, 5000 Namur (1er étage)
Comment :inscription souhaitée pour le lundi 12 décembre au plus tard par mail à l’adresse a.danel@canopea.be.
image_2022-10-14_161319556

« Hors sol », théâtre des travaux et des jours

Inspirée d’un cas réel, et nourrie par la collecte de témoignages au sein de différentes luttes de territoire, la pièce interroge avec humour la capacité des habitant·e·s d’une région à agir sur la politique d’aménagement qui y est menée.
PS: Si vous êtes membre d'un collectif Occupons le Terrain et que vous ne recevez pas les nouvelles internes du réseau, n'hésitez pas à nous écrire pour compléter nos listings.
facebook website